Secteur Agro-écologie

Les Biolodies ™ Des ondes sonores naturelles pour remplacer la chimie

 

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Nous avons mis au point un système de diffusion d’ondes sonores très efficaces pour une utilisation en extérieur.

Par exemple pour déstresser les abeilles 🐝, augmenter une réponse immunitaire (CCD),  rétablir le développement optimal d’une plante🥦, voire inhiber une infection.

Le principe consiste à diffuser une « Biolodie ™», une séquence sonore spécifique composée de notes et de vocalises à proximité de la cible (verger, champ, ruches…). Cette séquence dure 10 minutes maximum et va agir sur les molécules d’eau contenues dans l’organisme vivant, par le phénomène de résonance forcée.

Pour aller plus loin…

Puisqu’on nous pose souvent la question : Contrairement au principe des « protéodies » (développé par Genodics il y a 30 ans), nous ne caractérisons pas du tout les ondes vibratoires propres aux acides aminés, intervenant lors de la bio-synthèse des protéines en (structure primaire). La notion d’« ondes d’échelles » pour caractériser une note (en admettant que cela fonctionne) aurait au mieux, l’effet d’un médicament local, c’est-à-dire traiter un symptôme et non sa cause. Par ailleurs, la masse molaire d’un acide aminé est une donnée moins pertinente que sa charge électromagnétique liée à son indice hydropathe.

Selon nos expériences, c’est le milieu (l’eau) dans lequel baigne les acides aminés (et toutes les autres cellules) qui joue un rôle essentiel à la bonne transmission du « message », permettant la synthèse (ou l’inhibition) correcte des protéines.

Nos recherches s’orientent sur les « raisons » qui sabotent la transmission du message aux cellules. Pour cela, nous nous intéressons aux propriétés « hydriques » des acides aminés, donc électromagnétiques (polarité, charge et index hydropathique) et leurs interactions avec l’eau (et la lumière IR), pour comprendre leur langage sonore.

Le message transmis dans une Biolodie est une « directive » qui indique à l’organisme (cellule destinataire) ce qu’il doit faire, quelles prérogatives ou contremesures, il doit mettre en place, soit d’ordre global (directive quantique : intention ou  émotion), soit d’ordre biologique (synthétiser ou inhiber une protéine spécifique). À noter qu’une directive globale reçue peut conduire l’organisme à initier, de son propre chef, une directive biologique.

Ce qui nous intéresse se situe ainsi en amont de la transcription de l’ADN, dans la structure de l’eau, mais agira ensuite naturellement en aval (principalement au niveau de la structure tertiaire de la synthèse de la protéine).

C’est dans cette optique que nous avons fait deux découvertes majeures :

  1. Il existe une interférence de repli lors de la séquence d’une protéine, liée à la proportion d’acides aminés hydrophiles (polaire) et hydrophobes (non polaire). En effet, leurs interactions avec les molécules d’eau conditionnent la manière dont la chaîne polypeptidique se replie (structure tertiaire). En cas de repli non conforme, la protéine soit : ne pourra pas exercer sa fonction correctement ; soit exercer une autre fonction ; soit devenir néfaste pour la cellule (ex. du Prion). Comme pour l’eau, on parlera alors d’une protéine déstructurée.

Les protéines sont de grosses molécules qui peuvent accomplir toutes sortes de tâches dans les cellules. Elles peuvent faciliter des réactions chimiques (ex.  enzymes), jouer un rôle structurel (ex.  cytosquelette), transmettre des signaux à la surface de la cellule (ex. récepteurs membranaires) et bien plus encore.

N’oublions pas que l’eau forme une « colonne vertébrale d’hydratation » autour de l’ADN et les changements structurels dans l’eau peuvent être associés au comportement des macromolécules biologiques, et en particulier à la dénaturation des protéines.

Petite parenthèse : tous les acides aminés sont solubles dans l’eau (à des degrés variables), c’est pourquoi parler d’acide aminé hydrophobe est donc un abus de langage. La protéine (placée dans l’eau) va s’accommoder thermodynamiquement en se repliant selon les degrés de liberté à sa disposition de façon à enfouir au coeur de la molécule les résidus hydrophobes des acides aminés. Il s’agit d’une des forces qui gouvernent le repliement des protéines.

  1. Il existe une interférence de communication dans la signalisation cellulaire que nous appelons Transmission de « directives » (ou d’ordres).

La capacité des cellules à percevoir leur micro-environnement et à y répondre correctement est à la base de leur développement. Et des dysfonctionnements dans le traitement de l’information cellulaire peuvent être responsables de maladies humaines et animales (ex. cancer, maladies auto-immunes, diabète, bactérie escherichia coli, nosemose…), ou des maladies végétales (ex. oïdium, botrytis, ESCA, potyvirus WMV, sclerothinia…).

L’observation nous indique que lorsque l’organisme va « mal » (qu’elle que soit l’infection), l’eau intracellulaire et extracellulaire se déstructure, entraînant des perturbations électromagnétiques du milieu. Celles-ci impactent directement les molécules véhiculant les signaux (messages), compte-tenu de leur polarité et de leur charge.

Ainsi, la façon dont de l’eau sera structurée, joue donc un rôle essentiel dans la délivrabilité de l’information cellulaire.

LES SÉQUENCES SONORES (BIOLODIES) :

Des fréquences sonores spécifiques (diffusées en séquence appelée une  « Biol-o-die » ; contraction de Biologie, Eau & Mélodie) combinées à la lumière infrarouge (condition indispensable), ont la capacité de restructurer l’eau, c’est-à-dire de réorganiser ses molécules électromagnétiquement sous forme de cluster (molécules d’eau liées par des ponts Hydrogène). Les clusters d’eau sont également impliqués dans la stabilisation de structures supramoléculaires.

En milieu extérieur, on trouve facilement des IR (infrarouges) grâce à la lumière du soleil. L’eau structurée permet donc de réduire les interférences de repli et de communication.

On pourrait ainsi dire que la séquence sonore combinées aux IR : prépare le terrain favorable à la transmission du message (phase de structuration) et conduit le message à travers l’eau (phase de transmission).

Une fois le message délivré, l’organisme procède alors à son déploiement (phase d’activation ; ex. synthèse protéique).

Structurer l’eau permet de créer des conditions électromagnétiques (polarité et charge) favorisant les transmissions intra- et extracellulaires.

Le caractère polaire ou apolaire des radicaux des acides aminés est très important pour comprendre les mécanismes de communication et de repli (chaine polypeptidique). L’eau étant un solvant polaire, la polarité des radicaux influence la pénétration des molécules d’eau au sein de la protéine et inversement.

C’est pourquoi, on ne peut pas dire qu’on est capable de favoriser le développement d’un organisme (facteur de croissance). Ce qu’on fait en réalité, c’est rétablir le terrain initial (les conditions optimales) pour que la cellule (gène) se développe normalement. 

Mais il est tellement « courant » d’avoir un terrain affaibli et corrompu (ou modifié) par toute sorte de perturbateurs biologiques, qu’on ne sait pas même plus finalement, à quoi correspond le potentiel de croissance originel de l’organisme (généralement  beaucoup plus puissant). Quand on pense que la loi française impose depuis janvier 2018 l’injection de 11 vaccins (germes) à un nourrisson, nous sommes en droit de nous poser certaines questions éthiques.

Tout ceci est très technique, mais si nous prenons un peu de recul sur la science, finalement, il s’agit simplement de dialoguer avec la nature.

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