Séquenceur de « Biolodies » (par Samuel Vallee)

Les Biolodies ™

Des ondes sonores naturelles en interaction avec la biologie.Une « Biolodie™ » (Biol-o-die ; contraction de Biologie, Eau & Mélodie) est une séquence sonore spécifique, composée de notes (fréquences), qui vont agir sur la structure des molécules d’eau d’une cellule par le phénomène de résonance forcée. Nous pourrions tout aussi très bien parler de « Musicaments » dans le domaine médical.Pour faire simple, les vibrations sonores agissent sur l’eau. Sachant que les protéines se fabriquent dans l’eau cellulaire, modifier la structure électromagnétique de l’eau (par les ondes sonores) influence la biosynthèse de ces protéines. Cette influence peut stimuler ou inhiber cette biosynthèse en créant des conditions électromagnétiques (polarité et charge) favorables ou non. 

Il est aussi possible que le cerveau, par l’écoute des Biolodies, puisse interpréter inconsciemment cette séquence dans un langage neuronal, et transmettre des prérogatives au corps ; comme le phénomène cellulaire de l’Apoptose (mais on ne sait pas exactement comment aujourd’hui, même si nous pouvons en faire l’expérience).

En tant qu’ingénieur en psychoacoustique (Rennes), et formé en biologie cellulaire (à l’université de Stockholm), j’ai conçu les « Biolodies » au sein de notre laboratoire de recherche Résonance Music Lab, supervisé par l’institut de formation professionnelle Résonance Education.

 

Les Biolodies sont bien entendu utilisées dans la Thérapie Sonore Holistique, grâce à l’application Vibrati, mais également dans d’autres domaines comme l’agroécologie. Par exemple, en utilisant un système de diffusion d’ondes sonores en extérieur, nous pouvons déstresser les abeillesaugmenter une réponse immunitaire (CCD), rétablir le développement optimal d’une plante, voire inhiber une infection.

 

Le principe consiste à diffuser une « Biolodie », une séquence sonore spécifique composée de notes et de vocalises à proximité de la cible (verger, champ, ruches…), pendant 10 minutes. La séquence va non seulement restructurer les molécules d’eau au niveau cellulaire, améliorant la transmission d’informations, mais également agir pendant le processus de biosynthèse des protéines.

 

Parenthèse : Contrairement au principe des ‘protéodies’ développé par Joël Sternheimer/Genodics il y a 30 ans, les Biolodies ne caractérisent aucunement les ondes vibratoires propres aux acides aminés, intervenant lors de la biosynthèse des protéines en (structure primaire). La notion d’« ondes d’échelles » pour caractériser une note (en admettant que cela fonctionne) aurait au mieux, l’effet d’un médicament local, c’est-à-dire traiter le symptôme et non sa cause. Par ailleurs, la masse molaire d’un acide aminé est, pour moi, une donnée moins pertinente que sa charge électromagnétique liée à son indice hydropathe.

 

Protéine et « Biolodies » (version simplifiée)

 

Une protéine, c’est comme un collier de perles. Il existe 20 perles différentes (les 20 acides aminés) pour fabriquer ce collier. Selon la protéine qu’on veut fabriquer, on choisit certaines perles plutôt que d’autres et on les assemble avec un fil. C’est la structure primaire. Ensuite, un deuxième fil de perles est créé pour renforcer le collier. Ils s’enroulent entre eux comme une hélice. C’est la structure secondaire. Pour terminer et que le collier devienne une vraie protéine, il doit se replier sur lui-même comme un étrange serpentin. C’est la structure tertiaire. Enfin, ce n’est pas obligatoire, mais plusieurs colliers peuvent aussi se mélanger et se replier entre eux pour forme un super collier. C’est la structure quaternaire.

Si vous avez compris le principe, vous allez comprendre aussi comment les Biolodies vont agir. Donc la construction du collier (la protéine) se fait dans l’eau, puisque la cellule est composée à 99% d’eau.

Les perles (acides aminés) sont magnétiques, comme des aimants. Les molécules d’eau aussi sont magnétiques. Du coup, du fait des polarités (+/-), certaines perles aiment l’eau, elles sont « hydrophiles », et d’autres perles n’aiment pas l’eau, elles sont « hydrophobes ».

 

Ce qui fait qu’en fonction des perles utilisées, au moment du repli du collier (structure tertiaire), les perles qui n’aiment pas l’eau vont avoir tendance à se cacher à l’intérieur du collier (pour éviter le contact avec l’eau au maximum), et les perles qui aiment l’eau vont donc se placer plutôt à l’extérieur. La forme finale du collier dépend donc principalement des interactions électromagnétiques entre les perles et l’eau. Sachant que la moindre différence de forme du collier, change complètement la nature du collier, donc de la protéine. Elle peut devenir alors inefficace, autre, voire néfaste.

Nous savons que la vibration sonore agite les molécules d’eau, les font « bouger » et s’organiser en « structures » harmonieuses ou non (cela dépend de la fréquence utilisée). Une eau non structurée (ou non harmonieuse), c’est comme une eau trouble. Il est difficile pour les cellules de se baigner dedans et surtout de naviguer. Elles peuvent difficilement transmettre des messages aux cellules voisines. Soit, elles n’y arrivent pas, soit le message est incomplet, soit elles mettent plus de temps à le faire. Le système de communication n’est donc pas optimisé, voire inopérant.

A l’inverse, une eau structurée c’est une eau claire, limpide, où la navigation et la communication se font bien. Tout est plus fluide. Nous avons aussi remarqué que l’eau reste plus longtemps structurée si elle est soumise parallèlement à la lumière du soleil. Quel magnifique cocktail !

 

Ainsi, en fonction des vibrations de l’eau, les molécules vont se structurer d’une façon optimale (ou non), favorisant (ou non) la fabrication du collier. Comme la « Biolodie » agit sur l’eau, elle modifie les propriétés électromagnétiques de l’eau.

 

En conclusion, si certaines structures d’eau peuvent favoriser la création du collier (la biosynthèse d’une protéine), d’autres structures peuvent carrément saboter sa création (inhibition de la protéine). Comme toute cellule est constituée par des protéines (hormones, virus, bactérie…), nous imaginons maintenant très bien comment les vibrations peuvent agir sur l’immunité comme sur la santé du corps tout entier (physique, énergétique, émotionnel et mental).

 

Nous pouvons aussi penser que lorsque le corps « entend » les Biolodies, il reconnait les séquences sonores comme un langage vibratoire, et met en place naturellement des mécanismes favorisant (ou non) son développement.

 

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Version détaillée.

Selon nos expériences, c’est le milieu (l’eau) dans lequel baigne les acides aminés (et toutes les autres cellules) qui joue un rôle essentiel à la bonne transmission du « message », permettant la synthèse (ou l’inhibition) correcte des protéines.

 

Mes recherches s’orientent principalement sur « les causes » qui sabotent la transmission du message aux cellules. Pour cela, nous nous intéressons aux propriétés « hydriques » des acides aminés, donc les propriétés électromagnétiques (polarité, charge et index hydropathique) et leurs interactions avec l’eau (et la lumière infrarouge), pour comprendre leur langage sonore. Le message transmis dans une Biolodie est une « directive » qui indique à l’organisme (cellule destinataire) ce qu’il doit faire, quelles prérogatives ou contremesures il doit mettre en place, soit d’ordre global (directive quantique : intention ou émotion), soit d’ordre biologique (synthétiser ou inhiber une protéine spécifique). À noter qu’une directive globale reçue peut conduire l’organisme à initier, de son propre chef, une directive biologique.

Ce qui nous intéresse se situe donc en amont de la transcription de l’ADN, dans la structure de l’eau, mais agira ensuite naturellement en aval (principalement au niveau de la structure tertiaire de la synthèse de la protéine).

 

C’est dans cette optique que nous avons fait deux découvertes majeures : Il existe une « interférence de repli » lors de la biosynthèse d’une protéine, liée à la proportion d’acides aminés hydrophiles (polaire) et hydrophobes (non polaire). En effet, leurs interactions avec les molécules d’eau conditionnent la manière dont la chaîne polypeptidique se replie (structure tertiaire). En cas de repli non conforme, la protéine soit : ne pourra pas exercer sa fonction correctement ; soit exercer une autre fonction ; soit devenir néfaste pour la cellule (ex. du Prion). Comme pour l’eau, on parlera alors d’une protéine déstructurée.

 

Les protéines sont de grosses molécules qui peuvent accomplir toutes sortes de tâches dans les cellules. Elles peuvent faciliter des réactions chimiques (ex. enzymes), jouer un rôle structurel (ex. cytosquelette), transmettre des signaux à la surface de la cellule (ex. récepteurs membranaires) et bien plus encore.

N’oublions pas que l’eau forme une « colonne vertébrale d’hydratation » autour de l’ADN et les changements structurels dans l’eau peuvent être associés au comportement des macromolécules biologiques, et en particulier à la dénaturation des protéines.

 

Petite parenthèse : tous les acides aminés sont solubles dans l’eau (à des degrés variables), c’est pourquoi parler d’acide aminé hydrophobe est donc un abus de langage. La protéine (placée dans l’eau) va s’accommoder thermodynamiquement en se repliant selon les degrés de liberté à sa disposition de façon à enfouir au coeur de la molécule les résidus hydrophobes des acides aminés. Il s’agit d’une des forces qui gouvernent le repliement des protéines.

Il existe une interférence de communication dans la signalisation cellulaire que nous appelons Transmission de « directives » (ou d’ordres). La capacité des cellules à percevoir leur micro-environnement et à y répondre correctement est à la base de leur développement. Et des dysfonctionnements dans le traitement de l’information cellulaire peuvent être responsables de maladies humaines et animales (ex. cancer, maladies auto-immunes, diabète, bactérie escherichia coli, nosemose…), ou des maladies végétales (ex. oïdium, botrytis, ESCA, potyvirus WMV, sclerothinia…).

 

On nous a appris que le cerveau de la cellule est le noyau. Maintenant, nous savons que ce n’est pas vrai. Le Dr. Bruce Lipton révèle que le véritable siège de la conscience pour le corps est la membrane cellulaire, car elle transmet les informations de l’environnement dans les cellules. Pour qu’un signal de l’environnement affecte les protéines de notre corps, il doit d’abord passer par le processus de transfert d’informations de la membrane cellulaire. Cela peut agir comme un interrupteur, qui est contrôlé par les perceptions et les croyances, car l’état de notre esprit affecte le processus de transfert d’informations et le caractère résultant des cellules.

L’observation nous indique que lorsque l’organisme va « mal » (quelle que soit l’infection), l’eau intracellulaire et extracellulaire se déstructure, entraînant des perturbations électromagnétiques du milieu. Celles-ci impactent directement les molécules véhiculant les signaux (messages), compte-tenu de leur polarité et de leur charge.

 

Ainsi, la façon dont l’eau sera structurée, joue un rôle essentiel dans la délivrabilité de l’information cellulaire.

Les Biolodies combinées à la lumière infrarouge (condition optimale), ont la capacité de restructurer l’eau, c’est-à-dire de réorganiser ses molécules électromagnétiquement sous forme de cluster (les molécules d’eau sont liées par des ponts Hydrogène). Les clusters d’eau sont également impliqués dans la stabilisation de structures supramoléculaires.

En milieu extérieur, on trouve facilement des infrarouges grâce à la lumière du soleil. L’eau structurée permet donc de réduire les interférences de repli et de communication. Dit autrement, la séquence sonore combinée aux infrarouges prépare un terrain favorable à la transmission du message (phase de structuration) et conduit le message à travers l’eau (phase de transmission).

 

Une fois le message délivré, l’organisme procède alors à son déploiement (phase d’activation ; ex. synthèse protéique).

 

Structurer l’eau permet de créer des conditions électromagnétiques (polarité et charge) favorisant les transmissions de messages intra- et extracellulaires.

 

Le caractère polaire ou apolaire des radicaux des acides aminés est très important pour comprendre les mécanismes de communication et de repli (chaîne polypeptidique). L’eau étant un solvant polaire, la polarité des radicaux influence la pénétration des molécules d’eau au sein de la protéine et inversement.

C’est pourquoi, on ne peut pas dire qu’on est capable de favoriser le développement d’un organisme (facteur de croissance). Ce qu’on fait en réalité, c’est rétablir le terrain initial (les conditions optimales) pour que la cellule (gène) se développe normalement.

Mais il est tellement « courant » d’avoir un terrain affaibli et corrompu (ou modifié) par toute sorte de perturbateurs biologiques, qu’on ne sait même plus finalement, à quoi correspond le potentiel de croissance originel de l’organisme (généralement beaucoup plus puissant).

 

Quand on pense que la loi française impose depuis janvier 2018 l’injection de 11 vaccins (germes) à un nourrisson (et peut-être plus encore dans l’avenir), nous sommes en droit de nous poser certaines questions éthiques.

 

« Procédé d’interaction sonore sur la biosynthèse des protéines »

Accès au séquenceur de Biolodie Résonance : https://app.biolodie.com

 


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